Pascal Cortial a écrit :Merci pour tes suggestions Gérard,
Je n'en attendais pas moins de toi d'ailleur
Bon là je vais dormir un peu, après je reprendrais plus longuement là dessus !
A très bientôt
Pascal
Bon retournons à nos moutons :
1) Le contrôleur Citroën 1494 ?
Merci Gérard !
Pendant au moins huit ans je m’étais retiré l’idée de copier ce contrôleur !
En fait je pensais ça un peu superflu pour une personne isolée (moi), un tel montage ne servant que rarement contrairement à ce que pourrais penser Franck
Mais pour un club ? Où pour un ami Pro un peu débordé depuis que je lui fait un peu de pub ?
Ok Gérard, on va construire un Contrôleur !
Je n’ais pas (encore) de schéma mais pour en avoir étudié son fonctionnement il y a… 8 ans avec un peu de travail je pourrais m’en passer.
Il faudra encore une fois être patient mais c’est plutôt simple à refaire alors juste encore un peu de temps …
2) Un voltmètre semble un appareil simple d’usage et pourtant là Gérard tu mets le doigt sur un point important :
Pour que la mesure d’une tension soit significative il est nécessaire de la faire sur un circuit en charge, cad une mesure en « parallèle » dans un circuit fermé.
L’impédance élevée d’un voltmètre à pour but de ne pas créer d’incidence dans le circuit à contrôler, dans ton exemple la faible « consommation » du contrôleur ne pouvais mettre en évidence une éventuelle perte en ligne.
Par contre prendre la mesure en sortie de relais, en conservant la pompe connecté, aurait mis en évidence une chute de tension dû au mauvais contact (U= RI toujours).
C’est vrai en automobile, ce n’est pas toujours évidant de mesurer une tension sans débrancher un organe, alors une ampoule ayant une consommation bien réelle et visualisable reste bien entendu une solution pragmatique, peu de moyens sont nécessaires par ex sur une DS on démonte un clignotant (à l’AR c’est plus rapide) et on obtient un bon outil de test pour bien des choses !
Le tableau ci-dessus n’est qu’un résumé rapide, le vrai travail sera de détailler les procédures d’investigations (pour un amateur), avoir un outil comme le coffret 1494 serait une solution de confort mais la solution je me démer.. avec mon strict minimum ne peu être négligée.
Dans tous les cas, il faudra la bonne procédure pour le bon diagnostique.
Mal employé un instrument de mesure si précis soit-il peu être des plus trompeur !
Grand merci d’avoir souligné ce point Gérard.
3) OUI ! Quand la théorie nous laisse soupçonner la défaillance d’un organe prendre les mesures à ses bornes, à défaut de résultats significatifs s’étendre sur ses satellites, il va sans dire que pour le cas de l’injection l’élément stratégique est le calculateur.
Avoir une interface comme le 1494 pour retrouver rapidement la source d’une défaillance quand on a des problèmes pour en déterminer la causalité représente un avantage indéniable, là je n’invente rien, chez Bosch ou chez Citroën tout cela à bien été pensé.
On ne réinventera pas la roues
Le sujet posé était déjà bien spécifique alors j’espère (un peu ) que mes considérations n’étaient pas trop soporifiques.
Merci Gégé, j’ai apprécié discuter de ces points que tu as levé… oui de bonnes matières pour « mon » travail futur… (en attendant je te dois un e-mail !)
A bientôt,
Pascal